Je pense que vous commencez à avoir l’habitude : je déteste parler de parfum. Enfin, je veux dire : si c’est pour raconter des trucs sur un parfum type « c’est composé de ça donc c’est un graaaaand parfum », no way. Je ne suis pas comme ça. Preuve en est avec ce billet où je vous racontais que sentir un jus revenait, pour moi, à se plonger dans un grand bain d’émotions.
Du coup, lorsque j’ai discuté parfumerie avec Joy, la fraîche et pimpante attachée de presse des parfums Burberry, on a tout de suite été sur la même longueur d’ondes. En fait, Joy et moi on avait envie de parler fragrances. Mais comme moi je ne suis pas une experte de la mort qui tue, forcément, il fallait me parler avec des images, faire appel à des sensations enfouies – ou pas. Et puis, en plein milieu de la discussion, on en est venu à parler de Burberry. Logique, c’est un peu le mêtier de Joy, me direz-vous. Oui mais non.
Je dois avouer que Burberry est un peu ma Madeleine de Proust à moi. Pas côté fragrances, mais plutôt tartan. Je crois que mon premier doudou, c’était l’écharpe de mon papa. Et celle de ma maman, imprégnée de parfum Sisley. Et le grand trench de ma grand-mère aussi. D’ailleurs, si mes calculs sont bons, tout le monde dans ma famille à un trench Burberry – sauf moi (message subliminal pour mes parents, c’est bientôt mon anniversaire)…
Et puis, il y a aussi mon obsession pour le nouveau truc hype de l’hiver : le snood. Gné ? Kezako ? Une espèce de grosse écharpe un peu lose, qui tombe l’air de rien mais qui couvre bien le cou. Genre, j’adore. Je crois que ça sera mon investissement de l’hiver. Enfin, je le mets sur ma liste des investissements potentiels (ma liste fait au bas mot 10 km à l’heure actuelle).
Ensuite, je crois que je me suis mise à faire des grands gestes, puis des « oh » et des « ah », au moment de confesser mon péché mignon : le gel douche Burberry Week-End. J’ai expliqué à Joy que mon petit côté snob était de me laver (le dimanche, sinon ça demande un sacré investissement !!!) avec le gel douche Burberry Week-End. Alors que paradoxalement, je n’avais pas vraiment d’affinité avec le parfum Burberry Week-End.
En fait, mon truc à moi, côté parfums Burberry, c’est plutôt Burberry Brit. Je trouve cette senteur élégante, discrète. Comme un trench, en fait. Dès que je la porte, j’ai l’impression d’être enveloppée et protégée d’un je ne sais quoi d’ultra sécurisant. Je me sens un peu British, mais pas too much.
Du coup, quand Joy m’a montré le nouveau vapo de sac Burberry Brit (il est dispo depuis septembre), j’ai fondu. Non mais je crois que vous ne pouvez pas comprendre : transporter une micro dose (mais pas si petite que ça) de classe dans un flacon qui a EXACTEMENT le même motif que ma montre (Burberry)… Là, c’est carrément fait pour moi ! Moi qui me moquais tout le temps d’une amie qui dégaine son mini parfum plus vite que son ombre, en prétextant que c’est décidément too much de se parfumer à qui veut le sentir n’importe où… Là, j’ai été comblée. Je crois que j’ai enfin compris l’intérêt du vapo de sac.
Et, comme si une bonne nouvelle n’arrivait jamais toute seule, j’ai aussi eu la chance de découvrir la nouvelle campagne publicitaire du parfum Burberry Brit. Enorme coup de coeur pour ma part : j’ai l’impression que l’identité du jus a été super bien retranscrite. J’aime. Je valide. Je survalide, même ! (Et puis, avouons-le, je donnerais n’importe quoi pour être aussi canon que la sublime Emma McLaren).
Vaporisateur de sac – Burberry Brit
Prix : 65 € (+3 recharges de 15 ml)