Aujourd’hui, mon meilleur ami Sélim Niederhoffer, coach en séduction de son état, se soumet au test de plusieurs produits cosmétiques de la marque Nickel. Je vous propose de l’écouter, le beauty gourou c’est lui aujourd’hui !
La première fois, je ressemblais à un Malabar bigoût. A Double-face dans Batman. Un côté grand brûlé, un côté grand beau gosse. Appliquer de l’auto-bronzant, ça devrait être enseigné à l’école pour ne pas avoir l’air d’un demeuré. Quand NatPerfume m’a proposé de tester pour elle l’autobronzant Nickel, je me suis dit « que de chemin parcouru depuis mes premières peintures faciales ». On me promet un teint de golden boy. J’adhère. Si seulement je pouvais aussi avoir le portefeuille, ce serait vraiment « le grand bluff ».
Joli emballage comme toujours chez Nickel. Texture souple. Facile à appliquer, pénétration extra fluide. Et surtout, gros, énorme point positif pour moi homme aux capacités nasales surdéveloppées : il ne pue pas. Quand je respire, j’ai envie de sentir mon bon parfum (Tom Ford, Tuscan Leather), et certainement pas l’autobronzant que je viens de tartiner.
Mission réussie. Mains lavées. Visage hâlé avec un rendu quasi-naturel. Il ne reste plus qu’à le tester sur mes cibles. « Oh tu reviens du ski » ? Vendu. Je le garde.
Je dois aussi tester le correcteur. Mais c’est quoi un correcteur ? Lire un mode d’emploi, une notice, nous les garçons, nous n’aimons pas ça. Allez, en avant la tartine ! Voilà comment je me suis retrouvé avec une étrange sensation de lourdeur sur le visage, l’impression qu’on m’avait collé de la boue partout. NatPerfume hotline, vite ! « Capucin, c’est Le Piège à Filles c’est quoi un correcteur ? Ah, pour les boutons… mais c’est un truc de filles, non ? Ah. Bon, je vais le filer à mon petit neveu. Mais comment je fais maintenant pour l’enlever ? ».
A bientôt sur NatPerfume, je dois partir au Monop’ acheter du démaquillant…
Sélim Niederhoffer, coach en séduction