Hier, j’ai vécu une grande expérience au bureau. Et par grande, ne vous attendez pas à un truc incroyable, hein. Mais à quelque chose qui m’a littéralement déçu et m’a presque donné envie d’annuler ma présence à une opération de buzz. Le parfum Love Etc que lance The Body Shop est arrivé à la rédaction (enfin je veux dire, il n’est pas arrivé avec ses petites pattes, hein. Vous me comprenez !). Du coup, avec mon acolyte de toujours, nous l’avons senti. Attention, pas sur notre peau : mieux vaut être prévoyante. Mon acolyte journaliste reine de la beauty l’a vaporisé sur le mur, c’est ce qu’il y a de plus intelligent à faire, surtout quand on doit tester mille parfums d’affilée. Et là… Déception monumentale.
Tellement de notes que ça pue. Tellement d’accords que ça me donne le tournis. The Body Shop a voulu lancer un concentré d’amour avec ce parfum. Eh bien je dois dire que là, ça m’a plutôt envie de fuir en courant.
Même les gens autour de nous qui a priori se fichent totalement de nos délires sur la bouche Alexander McQueen et le noeud Alexis Mabille ont hurlé : « non mais vous abusez les filles, là. C’est pas possible ! Ca sent même jusqu’au balcon ! ». Du coup, on est allé s’enfermer sur le balcon, pour un peu moins sentir Love Etc…
Et bah figurez-vous que tout ce bazar m’embête profondément. Non seulement parce que j’avais hâte de sentir ce parfum – étant une inconditionnelle de White Musk. Mais aussi parce que The Body Shop m’a conviée à découvrir sa fragrance ce week-end, dans le cadre d’une opération blogueurs. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir dire ? Faire semblant d’aimer ? Hmmm… Ce n’est pas du tout mon genre (même que ça m’embête parce qu’après on croit que je suis une diva.). En fait, je pense que j’attends beaucoup de ce week-end : peut-être que The Body Shop arrivera à me convaincre. Qui sait ? Bien sûr, je vous raconterai mon week-end. Mais j’espère vraiment qu’ils ne vaporiseront pas le parfum dans le train, parce que là c’est malaise garanti !
Parfum disponible le 26 octobre.
Photo : beaute-blog.